Situation générale de l'Ouysse en violet et de la Dordogne en bleu clair. L'Ouysse prend sa source dans le nord du département du Lot, sur la commune d'Espeyroux, au sud-est de Leyme et au nord de Lacapelle-Marival. La longueur officielle du cours d'eau est de 41,1 km[3], mais cette longueur est certainement sous évaluée[4]. Un réseau arborescent collecte les eaux du Segala et du Limargue, jusqu'à la limite nord-est du causse de Gramat. Son parcours devient ensuite souterrain et draine de vastes étendues calcaires. Il ne subsiste alors en surface que de grandes vallées sèches, parfois des canyons, comme à Rocamadour, qui sont les témoins de son cours fossile. La rivière ressurgit à l'ouest du Causse pour se jeter dans la Dordogne. Le cours de l'Ouysse peut se diviser en trois grandes parties : - une première, aérienne sur 10 kilomètres, de sa source près d'Espeyroux jusqu'aux pertes de Thémines ;
- une seconde, souterraine, de Thémines aux résurgences de Cabouy, Saint-Sauveur et Font-Belle, en aval de Rocamadour ;
- une troisième, aérienne, des résurgences à son confluent avec la Dordogne à Lacave.
D'Espeyroux à Thémines La plus longue branche de l'Ouysse est nommée Louyssé. Elle prend sa source dans le Ségala, sur la commune d'Espeyroux, au nord-est du lieu-dit Cantifage, à quelques mètres du pont au virage de la D48, point coté 574 mètres d'altitude sur la carte IGN . Son bassin versant est limité au nord par la crête des bois de Leyme. Au sud et à 750 mètres d'Espeyroux, cette branche reçoit son premier affluent en rive droite juste avant l'étang du moulin de Lasbios, cote 437 . Après un parcours de trois kilomètres d'orientation NE-SO depuis sa source, elle rejoint un affluent (Ouysse ?) venant des environs d'Anglars au lieu-dit Lapergué, à une altitude de 370 mètres. Son cours prend alors une orientation est-ouest sur cinq kilomètres. Dans cette partie, l'Ouysse reçoit, en rive droite, de nombreux ruisseaux : du Cros, de la Cavalerie, de Cantegrel, des Lascurades, des Prats Vieils, de Cahuac, de Lasfargues et d'Aynac. Son altitude à la confluence du ruisseau d'Aynac, à Rueyres, est de 315 mètres. Étang du moulin de Lasbios au sud d' Espeyroux. Pont sur l'Ouysse au niveau du lieu-dit Lapergué. Confluent de l'Ouysse et du ruisseau d'Aynac à Rueyres. Le ruisseau reprend son cours sur deux kilomètres avec une orientation NE-SO, serpente dans sa large vallée, puis s'enfonce sous terre aux pertes de Thémines, au contact du causse de Gramat, à l'altitude de 295 mètres. Vallée de l'Ouysse dans la prairie en amont de Thémines Vallée érodée de l'Ouysse avant les pertes à Thémines Vallée de l'Ouysse vue du haut au niveau de Thémines. Vallée sèche fossile Jusqu'au surcreusement du lit des rivières de la fin du Cénozoïque , l'Ouysse empruntait, à partir de Thémines, sa grande vallée sèche qui lui faisait traverser l'actuelle D840 à la cote 319. Elle rejoignait celle du Morou à Issendolus et confluait avec celle de l'Alzou à Gramat pour atteindre la Dordogne en passant par le canyon de Rocamadour. De Thémines aux résurgences Actuellement, l'Ouysse débute son parcours souterrain à Thémines par une série de pertes qui se sont ouvertes aux travers des alluvions de son lit. Les pertes de Thémines La perte terminale de l'Ouysse à Thémines à l'étiage. À Thémines, les eaux de l'Ouysse se perdent à plusieurs endroits : pertes 1 et 2 dites du Moulin Raffi, perte 3 dite trou des écrevisses, perte 6 dite de la mouline ou du lavoir, perte 7 dite de l'arche et perte 8 dite terminale ou aval : 290 mètres d'altitude . Ces pertes sont explorées depuis 1979 par les membres des clubs et groupes spéléologiques . Elles conduisent à un réseau labyrinthique avec deux branches principales : la rivière souterraine active dite rivière Vieussens et la galerie de l'Aga. Ces deux voies se terminent sur des siphons explorés par les spéléos plongeurs en 1980. Ces galeries noyées se dirigent vers le gouffre du Pech la Vayssière et passent sous le lieu-dit Lafanayre. En aval, le parcours souterrain est pour l'instant inconnu jusqu'au chaos du Loze situé sous le lieu-dit Lalinié (Flaujac-Gare). Dans cette partie inexplorée, l'Ouysse reçoit comme affluent le ruisseau de Lasbories, appelé aussi Francès, qui lui aussi se perd au contact du Causse de Gramat à Théminettes. Le gouffre des Vitarelles Dans la rivière souterraine des Vitarelles. Les eaux forment ensuite l'Ouysse souterraine, appelée aussi rivière des Vitarelles dont plus de quatorze kilomètres de galeries ont été explorés depuis l'accès du gouffre des Vitarelles. l'Ouysse souterraine reçoit comme affluent en rive gauche tous les ruisseaux qui se perdent au contact de la limite nord-est du Causse entre Issendolus et Gramat : les ruisseaux pérennes du Morou, de Lascombes, et d'autres actifs seulement par temps de pluie. Entre Gramat et Rocamadour, l'Alzou possède de nombreuses pertes dans son lit qui conduisent la plus grande partie de ses eaux à l'Ouysse souterraine. 680 mètres en aval du puits d'accès du gouffre des Vitarelles, la rivière disparait dans un siphon exploré en 1948 . Elle se dirige vers le gouffre des Besaces dans lequel avait été établie une station de pompage pour l'alimentation en eau potable de la ville de Gramat. En 2007, cette installation a été déplacée en amont et hors de l'enclos du Centre d'Études de Gramat. Partie encore inconnue Après le siphon Alinat du gouffre des Vitarelles, l'Ouysse coule encore vingt kilomètres dans des galeries pour l'instant inexplorées. On peut supposer que les gouffres suivants sont ou ont été en relation avec la rivière souterraine : le gouffre des Besaces, le gouffre de Bèdes, le gouffre de Roc d'Arène, les igues de Gibert, le gouffre de Bio, la grande doline de Mages au sud de Rocamadour. Le gouffre de Pouymessens (altitude 125 mètres ) est un regard sur l'Ouysse avant ses résurgences à Cabouy, Saint-Sauveur et Fontbelle. Les résurgences Cabouy La résurgence de l'Ouysse au lieu-dit Cabouy, commune de Rocamadour. La résurgence de Cabouy se trouve dans la vallée sèche de la Pannonie, à trois kilomètres WSW de Rocamadour, à l'altitude 115 mètres . Ce gouffre noyé marque le départ de l'Ouysse aérienne. C'est une vasque de 30 mètres de diamètre tapissée par une épaisse végétation aquatique jusqu'à 6 mètres de profondeur. Une station de pompage pour l'alimentation en eau potable est installée aux abords de la vasque. En crue, 30 m3/s d'eau sont expulsés. À l'étiage, aucun courant n'est observé. Le conduit souterrain débouche dans la vasque par un porche noyé de 4 mètres de haut par 6 mètres de large. En 1977, une plongée à la résurgence de Cabouy permit, après 835 mètres et un point bas à -31 mètres, de rejoindre le gouffre de Pouymessens. Pouymessens Le gouffre de Puymessens, un kilomètre en amont de Cabouy. Le gouffre de Pouymessens est un regard sur l'Ouysse souterraine qui se trouve en rive droite de la vallée sèche venant de la Pannonie. À cet endroit, trois mètres sous la surface, un cône d'éboulis noyé donne accès à une grande salle de 40 à 50 mètres de diamètre pour 8 à 15 mètres de haut. Par temps pluvieux, ce regard absorbe le petit ruisseau qui se forme dans la vallée, mais par forte crue de l'Ouysse, il fonctionne en résurgence. À l'amont, en 1976, les plongeurs (français) s'arrêtèrent à 1685 mètres de Cabouy dans un vaste conduit noyé de 8 à 14 mètres de large et 6 à 8 mètres de haut . Claude Touloumjian fut le premier à franchir le premier siphon (S1) long de 1250 mètres et profond de 24 mètres. Olivier Isler progressa à plus de 2400 mètres de l'entrée. Avant 1988, le groupe Lémanique de plongée souterraine de Lausanne (Suisses) avait franchit après le S1 : un lac de 700 mètres de long dans une galerie de taille impressionnante, un deuxième siphon (S2) de 50m, et exploré 400 mètres de galeries exondées au sol coupant. Du 3 au 11 septembre 1988, les membres de l'expédition Pou Meyssens 88 (français), lors d'un exploration d'une durée de 25 heures, relèvent les mesures de 707 mètres de galeries, dont 500 mètres de conduits inexplorés jusqu'alors . En septembre 2000, Rick Stanton et Jason Mallinson du Cave Diving Group (anglais) utilisent des recycleurs et propulseurs de plongée (scooter). Il tentent en vain une jonction entre deux siphons : le S3 et le S3 bis, un point bas est atteint à -43 mètres . En novembre 2001, Rick trouve la suite dans le siphon S3. Après avoir dépassé son terminus de 2000, il atteint un palier long de plus de 100 mètres à 55 m. de profondeur, il remonte ensuite le long d'un éboulis à -24 m. Mais le conduit plonge à nouveau. Rick s'arrête à plus de 500 mètres de l'entrée du S3 à une profondeur de 120 mètres. Le conduit descend toujours ... Depuis 2001, ce sont plus de 4 kilomètres du cours de l'Ouysse qui sont maintenant connus en amont de Cabouy et le terminus actuel est à 5 mètres sous le niveau de la mer . En 2005, Slawek Packo a réalisé une vidéo dans le gouffre de Pouymessens . Saint Sauveur La résurgence de Saint Sauveur, commune de Calès. La résurgence de Saint Sauveur est située sur la commune de Calès, à environ un kilomètre à l'Ouest de Cabouy, à une altitude de 112 mètres. C'est une belle vasque d'eau claire de 25 à 30 mètres de diamètre dont le fond est sablonneux. Elle donne naissance à une des branches de l'Ouysse qui conflue avec la rivière issue de Cabouy environ 750 mètres plus loin . Le conduit noyé descend progressivement sur 150 mètres jusqu'à -70 mètres de profondeur . Après un palier horizontal long de 550 mètres, le conduit plonge à nouveau jusqu'à -180 mètres (terminus de la plongée de Ric Stanton en 2005), soit environ 70 mètres sous le niveau de la mer . le gouffre de Saint Sauveur est une source de type vauclusienne profonde alimentée par des eaux d'infiltration d'une partie du causse de Gramat, mais aussi par celles de l'Ouysse qui se perdent à la bordure Nord-Est de ce causse. Les traçages ont montré que la zone d'infiltration pouvait être délimitée : - au Sud par Labastide-Murat avec la rivière souterraine accessible par les igues de Goudou et Lacarriére (communication prouvée) ;
- au Sud-Sud-Est par un partie de la Braunhie près de Caniac-du-Causse : Igues de Bonneau (présumée), Planagrèze (prouvée), de l'Aussure (présumée), réseau de Viazac-Taoucat (présumée) ;
- au Sud-Est par la rivière souterraine de l'igue des Combettes Carlucet (présumée), La perte du Lac de Reilhac (prouvée) et l'igue de Marty près de Gramat (présumée).
Une ancienne conduite forcée naturelle se trouve en aval, en rive gauche, à 250 mètres et 18 mètres plus haut que la vasque de Saint-Sauveur . Cette grotte de Saint-Sauveur présente une section de deux mètres de diamètre se réduisant sur 25 mètres de longueur. Elle se termine par une petite salle de 4 mètres de hauteur. À l'extérieur, une grande arche de pierre se trouve dans son prolongement. Des résurgences à la Dordogne L'Ouysse reprend son cours aérien à Cabouy. Après 2 kilomètres environ, elle reçoit les eaux de sa branche provenant du gouffre de Saint-Sauveur. Dans une large et profonde vallée, elle passe au moulin de Caoulet, puis reçoit en rive droite l'Alzou au lieu-dit moulin de la Peyre. L'Alzou coule actuellement dans la vallée aérienne que l'Ouysse empruntait avant de circuler sous terre entre Thémines et Cabouy. L'Ouysse s'écoule sous le pont de la D673 reliant Rocamadour à Calès. Elle se jette dans la Dordogne 500 mètres à l'ouest du village de Lacave sous le château de Belcastel, à environ 9 kilomètres de sa résurgence de Cabouy. Chaussée du moulin de Lapeyre. Vallée de l'Ouysse après sa confluence avec l' Alzou Confluent de l'Ouysse et de la Dordogne. Hydrographie Bassin versant Sur un quart seulement de son bassin versant, la rivière coule à l'air libre. À l'amont, le bassin remonte sur les premiers contreforts du Massif central, sur les terrain imperméables du Limargue et du Ségala au sud de la crête occupée par le bois de Leyme. La pente moyenne de la rivière dans cette partie est d'environ 25 mètres pour mille mètres . Le profil en long de la rivière est brusquement interrompu au niveau des pertes de Thémines (descente de 50 mètres). La vallée fossile, se dirigeant vers Gramat, poursuit la forme d'arc d'hyperbole initiale et montre que le confluent de l'Ouysse et de la Dordogne, avant le surcreusement des vallées à l'ère Cénozoïque , se trouvait 150 mètres plus haut que son niveau actuel (Voir graphique au-dessus). Les trois quarts du bassin versant s'étendent sur les terrains karstiques du causse de Gramat jusqu'à Théminettes, Flaujac-Gare, Caniac-du-Causse et Labastide-Murat au sud. La limite du bassin versant est particulièrement difficile à déterminer sous la zone de la Braunhie où le réseau fossile Viazac - Traucat atteint une profondeur de 246 mètres pour un développement de 11 kilomètres. Dans cette partie, les écoulements sont le plus souvent souterrains. L'eau de pluie s'infiltre aux travers de fissures verticales de la roche calcaire jusqu'à une zone de transfert horizontale occupée par les rivières souterraines. La pente moyenne de l'Ouysse sous le Causse est d'environ 6 mètres pour mille mètres . En aval des résurgences, le bassin versant se resserre et converge vers Lacave. La rivière serpente avec une faible pente : 2 mètres pour mille mètres en moyenne. Géologie Le système karstique de l’Ouysse occupe un bassin versant de 600 km2 , qui se répartit, pour un tiers environ, sur des terrains peu perméables, où les ruisseaux prennent leurs sources avant de se perdre au contact de la corniche du causse de Gramat. Cette partie du bassin est située à l’est, sur le Limargue et le Ségala. Le reste du bassin, représenté par des terrains essentiellement carbonatés, forme une grande partie du causse de Gramat ; ici l’eau a creusé en profondeur un très important réseau de galeries, avec circulation d’eau, qui se dirige vers les résurgences de l’Ouysse. Sur le Causse, un certain nombre d’igues (gouffres) permettent d’accéder aux circulations souterraines. Les principaux sont : Les Vitarelles, les Besaces, Planagrèze, Viazac, L’Aussure, Lacarrière, Goudou et les Combettes. Structure Le système karstique de l’Ouysse se localise sur le flanc Nord-est du synclinorium Charentes-Quercy, où l’ensemble des séries jurassiques s’enfoncent avec un faible pendage en direction du Sud-ouest. A l’Est, la faille de Flaujac de direction pyrénéenne (N 90 à N 110° E), sépare le bassin d’alimentation de l’Ouysse (bassin versant de la Dordogne) de celui d’Assier-Font del Pito (bassin du Lot). Description des terrains Les terrains du corps karstifié principal appartiennent au Dogger et au Malm, ils sont représentés par des calcaires, des calcaires dolomitiques et quelques niveaux de marnes (Bathonien supérieur), à l’Ouest du système, les terrains karstifiables s’enfoncent sous le marno-calcaire kimméridgien. Les terrains de la zone d’infiltration sont représentés par les faciès quasi imperméables des marnes et argiles du Lias supérieur et moyen du Limargue, les grès du Trias et les roches cristallophylliennes du Ségala (roches métamorphiques et magmatiques). Les terrains des corps karstifiés annexes appartiennent à la formation de la « barre à Pecten » du Lias moyen (Pliensbachien) et au Lias inférieur (Sinémurien, Lotharingien et Hettangien), ils sont représentés par des calcaires souvent dolomitiques et des brèches. Principaux affluents L'Ouysse a onze affluents contributeurs référencés : - le ruisseau de Louyssé, 4,1 km sur les communes de Anglars et Espeyroux ;
- le ruisseau du Cros, 3,6 km sur les communes de Anglars et Espeyroux ;
- le ruisseau des Lascurades, 2,6 km sur les communes de Anglars et Leyme ;
- le ruisseau des Prats Vieils, 1,3 km sur les communes de Anglars et Leyme ;
- le ruisseau de Cahuac, 1,6 km les communes de Anglars et Aynac ;
- le ruisseau de Lasfargues, 3,1 km les communes de Aynac et Rueyres ;
- le ruisseau de Trémenouze, appelé aussi ruisseau d'Aynac près de sa confluence, il mesure 9,7 km et passe sur les communes d'Aynac, Rueyres et Saint-Jean-Lagineste avec cinq affluents lui-même ;
- le ruisseau de Lascrozes, 1,7 km sur la commune d'Aynac ;
- le ruisseau de la Devèze, 2,5 km sur la commune d'Aynac ;
- le ruisseau du Quié, 2,5 km sur la commune d'Aynac ;
- le ruisseau de Largentié, 4,1 km sur les communes d'Aynac et Leyme ;
- le ruisseau de Lacoste, 2,3 km sur la commune d'Aynac.
- le ruisseau de Lasbories, appelé aussi Francés, de Lacapelle-Marival à sa perte, 20,2 km sur les communes de Rudelle, Le Bourg, Lacapelle-Marival et Saint-Maurice-en-Quercy. Il se perd sous terre à Théminettes et conflue avec l'Ouysse dans la partie inexplorée située en amont du réseau des Vitarelles. Ses trois principaux affluents :
- le ruisseau des Escambous, 1 km sur la commune de Rudelle ;
- le ruisseau de Marival ;
- le ruisseau de Lamourière ;
- le ruisseau de Lascombes, 4,1 km sur les communes d'Albiac, Bio et Issendolus où il se perd à la perte de l'Hôpital-Beaulieu ;
- le ruisseau du Morou, 5 km sur les communes d'Albiac, Thémines et Issendolus où il se perd au creux de la Bargade ;
- le ruisseau l'Alzou, 31,4 km avec six affluents contributeurs conflue avec l'Ouysse en aval des résurgences, mais se perd sous terre en de nombreux endroits entre Gramat et Rocamadour.
Fin de la première partie ************************************************** | |